Covid-19 | Impact économique sur les secteurs d'activité et l'emploi en France et en région
 

Covid19 | Impact économique sur les secteurs d'activité et l'emploi en France et en région

par Orfe (CF). Le 19/05/22 12:25.
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Sommaire
La pandémie de Covid19 s’est traduite en France et en Centre-Val de Loire par un choc brutal et généralisé à l’ensemble des activités économiques.
Mis à jour en mai 2022 : deux ans après le premier confinement national, cet article fait le point sur les pertes d’activité économique et le marché du travail.

Le tableau de bord ci-dessous, réalisé à partir des principales données de la Dares, de l’Insee, de l’Unedic et de Pôle emploi, a donc pour objectif d’éclairer la situation à partir des informations les plus récentes.

 

Ce tableau de bord constitue une déclinaison des travaux menés plus largement sur l’impact de la crise sanitaire sur l’économie, l’emploi et la formation en Centre-Val de Loire dans le cadre du mandat du Comité Régional de l’Emploi, de la Formation et de l’Orientation professionnelles (Crefop).

 

L’impact économique sur les secteurs d’activité en France

La consommation des ménages (Insee, 17 mai 2022)

 

La consommation des ménages en biens baisse nettement en mars 2022 (- 1,3 %).

 


Source : Insee
Lien vers le tableau de bord de la conjoncture de l’Insee du 17/05/2022

 

Au quatrième trimestre 2021, le PIB français s’est situé à 0,9 % au-dessus de son niveau d’avant la crise sanitaire.

 

Les trois premiers mois de l’année 2022 apparaissent plus contrastés que la dynamique observée au quatrième trimestre 2021. La consommation des ménages reculerait au premier trimestre 2022, dans un contexte marqué par une situation sanitaire dégradée en janvier et par la progression continue de l’inflation. La consommation publique resterait dynamique, portée par la campagne de vaccination et la réalisation des tests de dépistage pendant la vague Omicron. L’investissement des entreprises ralentirait légèrement, alors que celui des ménages se redresserait, porté par la construction. Après une période très dynamique fin 2021, les échanges extérieurs ralentiraient début 2022, mais seraient tout de même tirés par la reprise des échanges de produits manufacturés. Ils seraient néanmoins affectés en fin de trimestre par les répercussions de la guerre en Ukraine sur les échanges énergétiques et agricoles et sur le tourisme international.

 

Ecarts d’activité économique par rapport à l’avant crise
Activité économique en écart au quatrième trimestre 2019, en % :

 

Source : calculs Insee à partir de sources diverses

Lien vers la note de conjoncture de l’Insee "Activité économique" du 16/03/2022

 

Au quatrième trimestre 2021, l’activité apparaît contrastée (Insee, 14 décembre 2021)

 

Le contexte conjoncturel du quatrième trimestre apparaît contrasté. Les indicateurs de climat des affaires, issus des enquêtes de conjoncture auprès des entreprises, se situent à des niveaux très élevés. Dans le même temps, l’appareil productif, notamment industriel, est soumis à des tensions croissantes : difficultés d’approvisionnement, qui se situaient en octobre à des niveaux historiques depuis le début des séries et hausses records des prix de production. Enfin, la dégradation de la situation sanitaire, sans se traduire à ce stade par de nouvelles restrictions, est susceptible de peser sur l’activité des services, à travers par exemple de moindres déplacements par transport aérien. Dans ce contexte, la progression de l’activité au quatrième trimestre 2021 résulterait surtout, comme au trimestre précédent, de celle des services marchands, notamment ceux encore en deçà de leur niveau d’avant-crise et qui bénéficient dès lors d’un potentiel de rattrapage. Dans l’industrie, la hausse de l’activité serait plus légère, amoindrie notamment par une nouvelle dégradation de celle des matériels de transport (industrie automobile en particulier).
Au premier semestre 2022, le PIB serait de nouveau tiré principalement par les services marchands, notamment ceux qui poursuivraient leur rattrapage. Néanmoins, certaines branches resteraient encore nettement en deçà de leur niveau d’avant-crise au deuxième trimestre 2022 : l’hébergement-restauration et les services de transport, dans un contexte de reprise encore partielle du tourisme international, et les matériels de transport, du fait de problèmes d’approvisionnement ne se dissipant que lentement. Enfin, après le fort rattrapage enregistré au premier semestre 2021 et une relative stabilité sur le reste de l’année, la construction fléchirait sur les deux premiers trimestres 2022, en lien avec des mises en chantier moins dynamiques en 2021 qu’avant la crise.


Estimation puis prévision des écarts d'activité économique en 2021 par branche

Ecart au quatrième trimestre 2019, en % :
 

Lien vers la note de conjoncture Insee "Activité économique" du 14/12/2021

 

En février 2022, la consommation alimentaire diminue de nouveau, mais à un rythme moindre (- 0,2 % après - 1,5 % en janvier 2022). (Insee, 31 mars 2022)

 

Cela s'explique par une baisse moins importante de la consommation de produits agricoles et agroalimentaires. La consommation de tabac augmente cependant.

 

Source : Insee

Lien vers la note de conjoncture de l'Insee "Consommation des ménages" du 31/03/2022

 

L’impact économique sur l’emploi en France

Au premier trimestre 2022, le taux de chômage est quasi stable (Insee, 17 mai 2022)

 

Au premier trimestre 2022, le nombre de chômeurs au sens du BIT diminue de 18 000 par rapport au trimestre précédent, à 2,2 millions de personnes. Le taux de chômage au sens du BIT est ainsi quasi stable (- 0,1 point) à 7,3 % de la population active en France (hors Mayotte), après avoir diminué de 0,6 point le trimestre précédent. Il est inférieur de 0,8 point à son niveau un an auparavant, et 0,9 point au-dessous de son niveau d’avant la crise sanitaire (fin 2019). Il s’agit de son plus bas niveau depuis début 2008, si l’on excepte la baisse ponctuelle en "trompe-l’œil" du printemps 2020, pendant le premier confinement.

 

Taux de chômage au sens du BIT
Moyenne trimestrielle en % de la population active, données CVS :
 

Source : Insee, enquête Emploi
Lien vers Informations rapides Insee (numéro 38) du 17/05/2022

 

Début 2022, le niveau tendanciel de la population active reste difficile à déterminer (Insee, 14 décembre 2021)


Selon l’Insee, la population active ralentirait en prévision par rapport aux évolutions observées en 2021 et retrouverait une croissance proche de l’avant-crise : le ralentissement de la population active tendancielle serait plus que compensé par les effets de l’alternance sur l’activité des jeunes.

 

Evolution de la population active comparée aux projections ajustées
En milliers, données CVS :

 

Source : Insee, enquête Emploi, projections de population active 2017
Lien vers la note de conjoncture Insee "Emploi et chômage" du 14/12/2021

 

Evolution de l’emploi intérimaire par secteur d’activité sur un an (Dares, 6 mai 2022)

  

+ 32 % d’emplois intérimaires en un an, de février 2021 à février 2022, soit + 83 857 intérimaires.
Fin février 2022, 826 006 personnes occupent un emploi intérimaire en France métropolitaine.

 

L’emploi intérimaire diminue en février 2022 (- 6 %, soit - 20 841 intérimaires) contrairement à ce que nous observions depuis plusieurs mois.

Fin février 2022, le nombre d’intérimaires dépasse de 4,7 % (+ 37 099) celui de février 2020, juste avant la crise sanitaire.

 

Evolution de l’emploi intérimaire par secteur en France métropolitaine (hors Mayotte) :

 

Source : Dares, exploitation des déclarations sociales nominatives (DSN) et des fichiers Pôle emploi des déclarations mensuelles des agences d'intérim

Lien vers les données intérimaires de la Dares du 6/05/2022

 

Evolution des déclarations d’embauche (Urssaf, avril 2022)

 

Au premier trimestre 2022, le nombre de déclarations d’embauche de plus d’un mois hors intérim baisse très légèrement (- 0,5 % après + 0,3 %) et reste sur le niveau haut atteint au troisième trimestre 2021 (plus de 2,4 millions par trimestre). Les embauches en CDI sont stables (- 0,1 % après + 2,9 %) tandis que celles en CDD de plus d’un mois diminuent de 0,9 % (après - 2,2 %).
Sur un an, les déclarations d’embauche de plus d’un mois augmentent de 26,5 % compte tenu du niveau bas enregistré au premier trimestre 2021 dans un contexte encore marqué par le deuxième confinement sanitaire. Elles augmentent de 11,7 % par rapport au dernier trimestre 2019, juste avant le déclenchement de la crise de la Covid-19.

 

Au premier trimestre 2022, l’évolution des embauches de plus d’un mois est contrastée selon la taille de l’entreprise : elles continuent de diminuer dans les entreprises de moins de 20 salariés (TPE, - 3,9 % après - 1,6 %) et poursuivent leur progression dans les structures de plus grande taille (+ 2 % après + 1,7 %).

 

Les déclarations d’embauche de plus d’un mois augmentent légèrement dans l’industrie (+ 0,6 %, après + 3,4 %), se contractent dans le secteur de la construction (- 3,8 %, après - 0,3 %) et se stabilisent dans le tertiaire (- 0,2 %, après + 1,6 %). Leur niveau dépasse très nettement celui enregistré au dernier trimestre 2019 dans l’industrie (+ 14,3 %) et dans le tertiaire (+ 13 %). L’écart est beaucoup plus mesuré (+ 0,6 %) dans la construction, secteur qui a globalement moins pâti de la crise.

 

 

Evolution des déclarations d’embauche hors intérim de plus d’un mois (glissement annuel) :
 

Lien vers Conjoncture Stat’ur d'avril 2022

 

Evolution du nombre de salariés en activité partielle (Dares, mars 2022)

 

Estimation des nombres de salariés en activité partielle entre mars 2020 et février 2022 :

 

Sources : demandes d’indemnisations SI APART, enquête Acemo-Covid-19 ; estimation Dares.

Lien vers l’enquête Acemo spéciale Covid Dares de mars 2022

 

Les secteurs concernés par l’activité partielle (Dares, mars 2022)

 

Estimation des nombres de salariés en activité partielle, par secteur d’activité (en milliers) :

 

Sources : demandes d’indemnisations SI APART, enquête Acemo-Covid-19 ; estimation Dares

Lien vers l’enquête Acemo spéciale Covid Dares de mars 2022

 

Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 (Dares, mars 2022)

 

Evolution de l’activité du fait de la crise depuis mars 2020, tous secteurs d’activité (en % de salariés) :

 

Source : Dares, enquête Acemo Covid, 2020-2022

Lien vers l’enquête Acemo spéciale Covid Dares de mars 2022

 

L’évolution du télétravail (Dares, mars 2022)

 

Evolution du télétravail depuis novembre 2020, tous secteurs d’activité (en % de salariés) :

 

Source : Dares, enquête Acemo Covid, 2020-2022

Lien vers l’enquête Acemo spéciale Covid Dares de mars 2022

 

Effet du télétravail sur les télétravailleurs par rapport au travail sur site, du point de vue de l’employeur (en % de salariés)

 

Source : Dares, enquête Acemo Covid, mars 2022

Lien vers l’enquête Acemo spéciale Covid Dares de mars 2022

 

Situation sur le marché du travail (Dares, 28 avril 2022)

 

Evolution du nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A en mars 2022

 

Entre février et mars 2022, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A a diminué de - 0,9 %.
Au total, on compte 2 940 000 demandeurs d’emploi de catégorie A en France métropolitaine en mars 2022. Au cours des trois derniers mois, le nombre de demandeurs d’emploi (catégorie A) a diminué de - 1,2 %.

 

Evolution du nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A par tranches d’âge :

 


Source : STMT – Pôle emploi, Dares
Accès aux données de la Dares publiées le 28/04/2022

 

Evolution des demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi, catégories A, ABC – en France métropolitaine du 1er trimestre 1996 au 1er trimestre 2022 (Dares, avril 2022) 

 

Source : Pôle emploi-Dares, STMT, données CVS-CJO.

Lien vers les données des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi du 1er trimestre 2022

 

Evolution du nombre d’offres d’emploi en ligne (Dares, 3 juin 2021)

 

Sur un panel d’une douzaine de sites suivis par la Dares, le nombre d’offres d’emploi en ligne s’établit entre le 17 et le 23 mai 2021 à 120 % du niveau précédant le second confinement (semaine du 19 au 25 octobre 2020). En moyenne sur les trois premières semaines de mai et par rapport au mois d’avril 2021, le nombre hebdomadaire d’offres publiées en ligne croît de 7 %, malgré une baisse durant la semaine du 10 au 16 mai probablement liée au pont de l’Ascension.

 

Note : indice base 100 lors de la semaine du 9 au 15 mars 2020. Les données des semaines du 28 septembre au 18 octobre 2020 ont été ajustées pour ne pas répercuter l’évolution forte, temporaire et inexpliquée de l’un des sites.
Source : panel de 12 sites d'offres d'emploi, calcul Dares

Lien vers le tableau de bord Dares du 03/06/2021

 

Impact sur les organismes de services à la personne (Dares, 23 novembre 2020)

 

La Dares a réalisé, en concertation avec la direction générale des entreprises (DGE), une enquête flash auprès des organismes de services à la personne (OSP), afin de recueillir des informations relatives à l’impact du premier confinement sur ces activités.
Il en ressort qu’entre le 15 mars et le 15 mai 2020, 33 % ont suspendu ou cessé leur activité, et 48 % ont diminué leur nombre d’interventions. Les OSP de petites tailles (moins de 10 intervenants) ont été davantage exposés aux arrêts d’activité : 41 %, contre 16 % des structures de plus de 10. La raison la plus fréquemment invoquée en cas de cessation ou de diminution d’activité est le refus par le bénéficiaire de l’intervention à son domicile. Les activités les plus touchées ont été le soutien scolaire, les cours à domicile et l’assistance informatique à domicile.
Les services d’assistance et d’accompagnement sont les services qui ont été les moins souvent interrompus du fait notamment du maintien des soins aux personnes âgées et/ou en situation de handicap. La livraison de repas ou de courses a même progressé.

 

Lien vers les résultats de l'enquête Dares


Impact sur l’emploi (OFCE, 6 mai 2020)

 

Le choc de confinement affecte 9,1 millions d’emplois.
Parmi eux :

 

  • 2,1 millions sont touchés par les fermetures obligatoires (dont 330 000 non-salariés et 40 000 salariés en contrat court de moins d’un mois)
  • 1,6 million de salariés et 100 000 non-salariés sont en garde d’enfant à la suite de la fermeture des écoles
  • 7,9 millions d’emplois salariés, soit 33 % des emplois salariés, et 400 000 non-salariés (14 %) pourraient être concernés par la mise en place du télétravail (hors commerces fermés)

 

À l’inverse, 18,5 millions d’emplois ne pourraient pas profiter de la pratique du télétravail.

 

Lien vers l’étude

 

Les chiffres clés pour la région Centre-Val de Loire

Evolution de l’emploi salarié en France (hors Mayotte) et en région (Insee, 17 mai 2022)

  

Evolution de l’emploi salarié privé en France (hors Mayotte) :

 

Source : Insee

Lien vers le tableau de bord Conjoncture nationale de l’Insee du 17/05/2022

 

Evolution de l’emploi salarié total et privé en France et en Centre-Val de Loire :

 

Champ : emploi salarié total (voir avertissement).

Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Acoss-Urssaf, Dares, Insee
Lien vers le tableau de bord conjoncture régionale de l’Insee du 11/05/2022

 

Evolution de l’emploi salarié par secteur d’activité en région

 

Au quatrième trimestre 2021, le secteur de l’industrie stabilise ses effectifs salariés, comme au troisième trimestre. Dans le tertiaire marchand hors intérim, l’emploi progresse (+ 0,3 %), moins fortement cependant qu’au trimestre précédent (+ 0,6 %). Il progresse également dans le secteur de la construction (+ 0,5 %). A noter que l’emploi salarié recule dans le tertiaire non marchand (- 0,6 %).

 

Évolution de l'emploi salarié par secteur - Centre-Val de Loire :
 

Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Acoss-Urssaf, Dares, Insee
Lien vers le tableau de bord conjoncture régionale de l’Insee du 15/04/2022

 

Evolution de l’emploi par département

 

Au quatrième trimestre 2021, l’emploi salarié évolue différemment selon les départements de la région Centre-Val de Loire. L’emploi progresse par rapport au trimestre précédent dans les départements de l’Indre-et-Loire (+ 0,4 %), de l’Eure-et-Loir (+ 0,3 %) et du Loir-et-Cher (+ 0,2 %). A l’inverse, l’emploi diminue dans le Cher (- 0,1 %) et l’Indre (- 0,1 %), ainsi que dans le Loiret (- 0,2 %). Dans ce département, il s’agit de la deuxième baisse consécutive, après la forte hausse observée au deuxième trimestre 2021 (+ 1,3 %).

 

Evolution de l’emploi salarié total par département (en fin de trimestre) :

 

Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Acoss-Urssaf, Dares, Insee
Lien vers le tableau de bord conjoncture régionale de l’Insee du 15/04/2022

 

Evolution de l’emploi intérimaire

 

Au quatrième trimestre 2021, l’emploi intérimaire augmente en région (+ 3,6 %) et au niveau national (+ 5,4 %). Il augmente dans tous les départements de la région, en particulier dans l’Indre (+ 10 %), l’Eure-et-Loir (+ 6,2 %), l’Indre-et-Loire (+ 5,9 %) et le Loir-et-Cher (+ 5,2 %). Dans le Cher (+ 2,2 %) et le Loiret (+ 0,1 %), la hausse de l’emploi intérimaire apparait plus modérée.

 

Evolution de l’emploi intérimaire en région et en France :


Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Acoss-Urssaf, Dares, Insee

Lien vers le tableau de bord conjoncture régionale de l’Insee du 15/04/2022

 

Evolution du nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A en mars 2022 

 

- 1,2 % sur un mois, soit 1 230 demandeurs d’emploi de moins par rapport à février 2022 en Centre-Val de Loire.
102 330 demandeurs d’emploi de catégorie A inscrits en région en mars 2022.

 

Au cours des trois derniers mois, le nombre de demandeurs d’emploi est stable en région (- 1,9 %) alors qu’il diminue de 1,2 % au niveau national.

 

Evolution du nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A par tranches d’âge :

 

Source : STMT – Pôle emploi, Dares
Accès aux données de la Dares publiées le 28/04/2022

 

Evolution des offres d’emploi collectées par Pôle emploi (Dares, 28 avril 2022)

 

Source : STMT, Pôle emploi-Dares
Accès aux données de la Dares du 28/04/2022

 

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